Legacy challenge : génération 1 jour 3
Génial ! Les ennuis continuent ! Ce matin, je me suis levé avec un mal de dos carabiné !
Le responsable est forcément ce lit très bas de gamme que j'avais acheté en arrivant. Il va falloir que je fasse avec !
Au moins ce matin, mon reste de pizza était mangeable. Par contre, mon mal de dos et ma situation globale m'ont fait réfléchir à la tournure que prenait ma vie. Je commence à me poser des questions. Ai-je pris la bonne décision ? Venir ici et tenter cette aventure n'était-ce pas au-delà de mes capacités ?
Pour chasser mes idées noires, et espérer apaiser mon mal de dos, j'ai décidé de prendre une douche bien tonifiante.
Cela n'a pas eu grand effet, mais au moins je suis parti propre pour mon deuxième jour de travail.
Il s'est d'ailleurs révélé tout aussi passionnant que le premier. Malgré tout, j'ai eu ma deuxième paye et avec elle, j'ai décidé de m'acheter une cuisinière pour me faire à manger.
Du moins, c'est ce que je pensais au moment de l'acheter. Sauf que... quand j'ai voulu me mettre aux fourneaux, je me suis rendu compte que je n'avais aucun ingrédient sous la main ! Non, mais quel idiot ! C'est un réfrigérateur que j'aurais dû acheter en premier, ainsi j'aurais pu faire quelques courses et mettre les produits au frais.
Je m'en suis voulu d'avoir été aussi stupide, mais c'était trop tard. J'étais là, comme un idiot à côté de ma toute nouvelle cuisinière, quand j'ai eu la meilleure idée de la journée : inviter Eliza au parc.
Non seulement, elle a accepté de m'y rejoindre, mais ensuite, nous avons fait quelques parties d'échecs ensemble.
Nous avons passé un très bon moment. J'ai découvert qu'elle avait un don pour raconter les histoires et les faire vivre à son interlocuteur (elle est journaliste, c'est peut-être son métier qui veut ça). De plus, elle est franchement agréable et chaleureuse.
Je crois que je l'apprécie de plus en plus.
Nous nous sommes quittés à la nuit tombante. Et comme je ne pouvais rien cuisiner, devinez quoi... j'ai appelé la pizzéria !
Si vous saviez à quel point je m'en veux !