Legacy challenge : génération 1 jour 47
Jeudi.
Eliza et moi, nous nous sommes levés un peu tard ce matin. Du coup, Babette était déjà partie au lycée, et je n'ai pas eu l'occasion de lui parler. Dommage.
Routine de la matinée : s'occuper de notre potager. Il se porte bien et donne de très bons fruits et légumes.
Je fis ensuite un peu de ménage, mais je dus m'arrêter à cause de mon dos qui commençait à me faire mal. Ah ! Ce n'est pas facile de vieillir !
Pour calmer ces douleurs, je fis une petite pause sur le canapé. J'en profitais pour regarder un peu la chaîne humour.
Dans l'après-midi, pour éviter de rester oisif et également pour faire plaisir à Babette, je décidais de bricoler la baignoire de sa salle de bains personnelle.
J'avais décidé d'installer un petit système d'auto-nettoyage, ainsi qu'un filtrage de l'eau. Cette méthode révolutionnaire allait lui permettre de ne plus s'occuper de nettoyer sa baignoire après un bain ou une douche.
Pendant ce temps, Eliza eut la visite de Don Lothario.
Au lieu de rester tranquillement à papoter avec Eliza, Don décida plutôt de venir voir ce que je faisais. Avez-vous essayé de bricoler avec une personne derrière vous qui vous observe et commente vos actions ? Je peux vous dire que ça devient très rapidement assez pénible.
Bon ! Au final, il s'est rattrapé. Il m'a grandement félicité pour l'installation de mon système révolutionnaire et m'a dit que j'étais sacrément doué. Il est sympa finalement ce Don Lothario !
Quand Babette rentra du lycée, elle demanda à sa mère de lui servir de cobaye. Elle avait eu une nouvelle idée de sketch et souhaitait l'essayer sur quelqu'un.
Visiblement, c'était vraiment très drôle. Il va falloir que je m'habitue au fait que Babette possède un don naturel pour la comédie.
Pour apaiser nos relations, je décidais d'aller lui parler. Elle jouait à blic-bloc sur notre ordinateur.
Je commençais par lui expliquer que j'étais désolé pour hier et que pour me faire pardonner, j'avais un peu amélioré sa salle de bains.
Puis, je lui dis que même si ses décisions ne sont pas celles que j'aurais prises moi-même, elle restera toujours ma petite fille chérie. Je terminais en disant que quel que soit le métier qu'elle décidera de faire, je n'avais aucun doute sur le fait qu'elle réussirait.
Voilà ! Tout va de nouveau bien entre nous. C'est parfait !